#131 : Pourquoi nager 14h dans l’eau froide est un entraînement parfait pour CEO – Gregor Ozbolt

14h dans une eau à 16°C pour traverser la Manche à la nage. Mais ce n’est que la face émergée de l’iceberg. Cet exploit, c’est le fruit de 1 300 km d’entrainement, dans le froid, le brouillard et la tempête. C’est de la méditation quotidienne, des séances de préparation physique et mentale, et un régime hypercalorique pour construire une protection graisseuse. C’est un voyage, puissant, riche et transformateur, au cours duquel il a découvert des outils puissants. Des outils qu’il partage désormais avec des leaders, des chefs d’entreprise et hauts managers, mais également avec les auditeurs de Limitless dans cet épisode hors norme.

L’essentiel de l’épisode

1. Ton corps et ton esprit sont bien plus puissants que tu ne le penses

Tu crois avoir des limites ? Elles sont souvent imaginaires. Ton corps s’adapte, trouve des solutions, et ton mental peut te porter bien plus loin que tu ne l’imagines. Mets-toi à l’épreuve, confronte-toi à l’adversité, et tu découvriras des capacités insoupçonnées.

2. L’intuition est une boussole fiable, mais il faut apprendre à l’écouter

Tu as déjà en toi les réponses aux grandes décisions de ta vie. Ton intuition est un GPS interne, nourri par tes expériences et tes apprentissages. Plus tu la sollicites, plus elle devient précise. Mais pour ça, il faut lui faire de la place et lui faire confiance.

3. Rien ne remplace la régularité et la discipline

Les exploits ne viennent pas d’un coup de génie, mais d’un travail quotidien, d’une accumulation de petites victoires. Que ce soit pour t’habituer au froid, te préparer mentalement ou développer une compétence, c’est la répétition et la constance qui font la différence.

4. Si ton “pourquoi” est assez fort, tu iras jusqu’au bout

Quand ça devient dur, ce qui te fera tenir, ce n’est pas ta motivation du départ, mais la raison profonde pour laquelle tu fais les choses. Trouve un objectif qui te dépasse, qui a du sens, et il te portera dans les moments où tout semble contre toi.

5. Lâche prise : tout est impermanent

Ni la douleur, ni l’euphorie, ni l’échec, ni la réussite ne durent. Plus vite tu acceptes que tout passe, plus tu vis pleinement. Ne t’accroche pas aux résultats, savoure le chemin. C’est là que se trouve la vraie transformation.

Exploration des croyances limitantes (02:09)

  • On a toujours tendance aujourd’hui à critiquer l’ego comme si c’était le grand méchant loup et qu’il fallait absolument l’étouffer pour vivre dans l’ici et maintenant, alors qu’en réalité ça reste un moteur extrêmement puissant ;
  • Face à l’adversité, le corps trouve toujours des solutions et en réalité, on est capable de tout ;
  • On a vraiment des super pouvoirs qui sommeillent dans nos chairs et le fait d’être confronté à quelque chose de réellement difficile permet de les révéler ;
  • Une fois que tu en prends conscience et que tu le reproduis quelquefois, tu te dis en fait, je suis capable de faire n’importe quoi ;
  • À partir du moment où je décide d’aller quelque part, il y a une partie de moi qui sait que j’y arriverai ;
  • Ce que je trouve intéressant dans le froid, c’est que tu n’es pas obligé d’essayer de pousser le plus loin tout le temps, mais d’y aller progressivement chaque jour ;
  • La réussite d’une traversée, c’est l’exposition au froid quotidienne, tous les jours, et que le froid fasse partie de l’équation ;
  • C’est comment tu vas aller transformer l’arc narratif, l’histoire que tu te racontes vis-à-vis des choses ;

Le chemin de Saint-Jacques de Compostelle (08:04)

  • J’avais envie depuis très longtemps d’aller marcher ; on oublie de vivre de manière beaucoup plus ralentie et slow ;
  • J’ai eu une espèce de crise spirituelle il y a une dizaine d’années ; j’ai décidé de plaquer plein de choses spirituellement et de me reconnecter à d’autres chemins ;
  • J’ai eu un appel, une envie d’aller marcher sur un lieu où des milliers et des milliers de personnes ont foulé ce terrain avant moi ;
  • Je trouvais qu’il y avait une forme de beauté et avec l’envie d’aller voir mon rapport à l’argent, ça me donnait la sensation de pouvoir toucher un peu le divin ;
  • Je me suis dit vas-y, prends ton sac, fourre tes affaires à l’intérieur, tu verras ce qui se passe et en fait, tu te rends compte que tu ne vas pas mourir ;
  • C’est d’accepter qu’il y a des gens qui vont te dire oui et d’autres qui vont te dire non ; et ça, ça commence à aller infuser en toi et à toucher en profondeur tes blessures ;
  • Sur le chemin, il y a une question qu’on me posait souvent et que je trouve magnifique parce qu’on ne la pose plus aujourd’hui : pourquoi t’es là ;
  • Chaque personne que tu rencontres a une réponse différente, autant de chemins, autant de raisons, autant d’histoires ;

Réflexions sur le silence et la méditation Vipassana (19:11)

  • On ne sait pas à quoi on pense réellement ;
  • On ne sait pas quelles sont nos obsessions parce qu’on a tendance à les zapper rapidement ;
  • Quand mon père est décédé, j’ai pas su quoi foutre de la tristesse ; en plus, j’étais un bonhomme, j’étais un homme, ça ne doit pas pleurer ;
  • Se mettre dans le silence, c’est accepter que tu vas avoir une réponse que tu ne veux peut-être pas entendre ;
  • Les trois premiers jours sont durs, très durs, mais ensuite, la clarté commence à émerger et tu peux te focaliser sur une pensée à un instant T ;
  • Au Vipassana, tu ne collectes plus d’informations extérieures, alors ton cerveau commence à vraiment travailler avec ce qu’il a en lui ;
  • J’ai vécu des moments où le sommeil et la méditation se mélangeaient, où mes rêves devenaient incroyablement précis et puissants ;
  • Il faut être bien accroché, parce que quand tu es face à toi-même, il y a des réponses que tu n’as pas envie d’avoir ;

L’intuition et la quête de soi (22:18)

  • On a la plupart des réponses en nous ; tu sais déjà si tu dois quitter cette personne, arrêter ce projet ou changer de direction ;
  • Mon intuition, c’est comme un ChatGPT interne qui va chercher des réponses dans toutes mes expériences, mes lectures, mes discussions, même celles que j’ai oubliées ;
  • J’ai longtemps cru que l’intuition était une forme d’intelligence archaïque, alors qu’en réalité, elle est la base de toutes mes décisions importantes ;
  • Plus tu vis d’expériences, plus tu nourris ton intuition avec des données réelles et plus elle devient puissante ;
  • Traverser la Manche ou faire un Vipassana, ce sont deux manières opposées de se confronter à soi-même mais qui mènent au même endroit ;
  • Ce que je cherche dans ces expériences, c’est me comprendre, voir ce qui résonne en moi, voir ce que je dois affronter ou dépasser ;
  • Quand tu écoutes vraiment ton intuition, tu fais moins d’erreurs, mais encore faut-il lui laisser l’espace de s’exprimer ;
  • Faire des choses difficiles, c’est aussi un moyen de donner du poids à ton intuition ;

La boxe comme exutoire de la violence (29:49)

  • Qu’est-ce que tu fais quand tu as touché l’Everest de ton sport ;
  • J’avais envie d’aller voir une partie de moi que je n’avais jamais regardée en face ; une partie plus colérique, plus brute, plus instinctive ;
  • L’être humain a de la violence en lui, qu’il le veuille ou non ; la question, c’est qu’est-ce qu’il en fait ;
  • La boxe, c’est la première fois où j’ai eu le droit d’exprimer cette énergie de manière saine, contrôlée et constructive ;
  • Ce que j’aime dans la boxe, c’est que tu signes un contrat tacite avec ton adversaire ; tu sais pourquoi tu es là, et lui aussi ;
  • Tu ne te connais pas tant que tu ne t’es pas battu, et je pense qu’il y aurait moins de conneries dans le monde si plus de gens apprenaient à canaliser leur violence ;
  • Quand je suis monté sur le ring pour mon premier combat, j’ai compris un truc fondamental : ici, il n’y a plus de masque, plus de rôle, juste toi face à toi-même ;
  • Après un combat, il y a un respect profond entre deux boxeurs, parce que chacun sait ce que l’autre vient de traverser ;

L’équilibre entre le Yin et le Yang (32:51)

  • Le Yang, c’est l’énergie de conquête, d’action, de mouvement ; le Yin, c’est l’énergie d’acceptation, d’écoute, de réception ;
  • L’erreur, c’est de croire qu’on doit être tout le temps dans une seule énergie ; c’est l’alternance entre les deux qui crée l’équilibre ;
  • Il y a des moments où je vais activer mon Yang et d’autres où je vais totalement basculer dans le Yin, et c’est cette capacité à jongler qui est précieuse ;
  • Chaque instant de la vie appelle un état différent ; ce n’est pas à moi d’imposer mon énergie, mais de choisir laquelle est la plus adaptée ;
  • Je me suis longtemps interdit d’exprimer mon Yin, parce que je fais 1m90 et 93 kilos, alors je devais forcément être dans le Yang ;
  • Le Yin, je l’ai découvert en explorant le Tantra, en acceptant mes émotions, en acceptant de recevoir au lieu de toujours donner ;
  • Dans la boxe, je suis 100% Yang ; dans l’eau, sur de l’ultra-distance, je suis 100% Yin ;
  • L’équilibre, ce n’est pas d’être au milieu, c’est d’avoir la liberté de naviguer entre les deux quand il le faut ;

L’importance de l’instant présent (44:47)

  • Qu’est-ce que 43 km de natation face à 1300 km d’entraînement ;
  • La traversée de la Manche, c’est juste la partie visible de l’iceberg, mais en réalité, c’est un jour comme un autre, un jour normal ;
  • Si je ne kiffe pas maintenant, je ne kifferai pas plus tard ;
  • Mon corps, mon souffle, ma respiration, ce sont mes seuls repères quand je suis dans l’eau ; il n’y a rien d’autre qui compte ;
  • Voir le lever du soleil au milieu de l’eau, observer un poisson passer sous moi, ce sont ces micro-moments qui me connectent à l’instant présent ;
  • Le froid est un allié ; il t’oblige à être totalement là, ici et maintenant, sinon il te prend ;
  • À chaque coup de bras, je ne pense pas à l’arrivée, je pense juste au prochain coup de bras ;
  • Si tu es trop dans l’anticipation, trop dans la projection, tu sors de ton corps et c’est là que tu perds ;

Les défis émotionnels et la gestion de la douleur (51:02)

  • Je savais que sur la traversée de la Manche, j’allais forcément me prendre des baffes mentales et physiques, alors j’ai préparé une boîte à outils mentale ;
  • Quand une émotion monte, je l’accueille, mais je ne la laisse pas prendre le contrôle ; c’est moi qui décide combien de temps elle reste ;
  • Quand je me suis pris une méduse en pleine gueule, j’ai insulté tout son arbre généalogique, puis je suis reparti ; il faut savoir couper et avancer ;
  • Il y a des moments où la douleur arrive, mais la douleur, ce n’est pas un stop ; c’est juste une information, et c’est à toi de décider ce que tu en fais ;
  • Quand j’étais dans le courant final, je pensais que j’allais toucher la plage en 30 minutes ; ça m’a pris 3 heures ;
  • Si tu te laisses embarquer par la frustration ou la colère, tu perds une énergie précieuse ;
  • J’ai une technique que j’ai développée pour ces moments-là, c’est ferme ta gueule ; arrête de penser, respire, avance ;
  • Mon plus grand outil, c’est ma respiration ; si je maîtrise mon souffle, je maîtrise mon mental et mon mental contrôle tout le reste ;

L’exposition au froid et l’effet cumulé (55:30)

  • L’adaptation au froid, c’est un effet cumulé ; ce n’est pas une question de force mentale, c’est une question de régularité ;
  • J’ai fait plus de 200 bains froids pour arriver à 30 minutes dans une eau à 10 degrés sans bouger ;
  • J’ai pris 10 kilos de graisse pour protéger mes organes, et ça m’a demandé de revoir complètement mon rapport à mon corps ;
  • Le froid est dangereux, l’hypothermie est un piège qui arrive sans prévenir, alors j’ai mis en place un protocole avec mon coach pour contrôler mon état à chaque instant ;
  • Il faut que ton corps accepte le froid comme un environnement normal, pas comme une agression ;
  • La réussite d’une traversée, c’est l’habituation quotidienne, pas un exploit isolé ;
  • J’ai refusé d’entrer dans l’eau deux fois pendant mon entraînement, et c’est ces deux jours-là qui m’ont le plus appris sur moi-même ;
  • Le froid, c’est un miroir, il te montre exactement où tu en es, physiquement et mentalement, sans tricher ;

La répétition et la construction mentale (01:01:05)

  • Ce n’est pas le jour de la traversée qui compte, c’est tout ce que tu as construit avant ;
  • Chaque jour, j’ai rajouté une minute dans l’eau, un mètre de plus à l’entraînement, et c’est cet effet cumulé qui fait la différence ;
  • Quand tu répètes quelque chose des milliers de fois, ton corps finit par le faire naturellement, sans effort, sans doute, sans hésitation ;
  • J’ai appris à transformer la fatigue en habitude ;
  • La répétition, c’est ce qui permet de désémotionner l’épreuve, de la rendre normale ;
  • Il faut accepter l’ennui, le quotidien, la monotonie, parce que c’est là que tu deviens fort ;
  • Ce n’est pas l’entraînement extrême qui te rend performant, c’est la constance, la discipline, le fait de revenir chaque jour même quand tu n’as pas envie ;
  • La vraie construction mentale, c’est de savoir que tu seras prêt parce que tu as déjà fait le travail mille fois avant ;

L’importance d’un objectif noble (01:09:24)

  • J’ai toujours besoin que mon objectif aille au-delà de moi-même, sinon je ne tiens pas dans la durée ;
  • Traverser la Manche, ce n’était pas juste un défi personnel, c’était une manière de laisser une trace, d’explorer mes limites, de me comprendre en profondeur ;
  • Si tu ne mets que la performance en avant, tu risques de te crasher mentalement après ;
  • Un objectif noble, c’est un objectif qui te transforme, qui te dépasse, qui t’oblige à devenir quelqu’un de plus grand que ce que tu es aujourd’hui ;
  • Mon objectif, ce n’était pas juste nager 43 km, c’était tout ce que j’allais apprendre en chemin ;
  • Si tu ne sais pas pourquoi tu fais quelque chose, alors le jour où ça devient dur, tu lâches ;
  • Ce qui me motive, c’est la beauté du défi, pas juste le fait de le finir ;
  • Un objectif qui a du sens, c’est un objectif qui continue de t’apporter quelque chose même une fois qu’il est atteint ;

L’entraînement : une semaine dans la vie d’un nageur (01:11:12)

  • L’entraînement, ce n’est pas juste faire des longueurs, c’est organiser ta vie autour de ton objectif ;
  • Chaque séance était pensée pour un détail précis : l’endurance, la résistance au froid, la gestion mentale, la nutrition ;
  • J’ai nagé entre 30 et 40 km par semaine, avec des sessions en eau froide pour habituer mon corps et mon esprit ;
  • La clé, c’était d’écouter mon corps tout en respectant le plan ; parfois, il faut forcer, parfois, il faut savoir ralentir ;
  • Il y avait des jours où j’étais fracassé, où j’avais juste envie de tout envoyer balader, mais c’est là que tu construis vraiment ton mental ;
  • J’ai appris à aimer la répétition, parce que c’est elle qui forge l’excellence ;
  • L’entraînement, c’est pas une ligne droite, il y a des hauts et des bas, des moments de doute, des moments d’euphorie, et c’est normal ;
  • Le but, c’était de faire en sorte que le jour de la traversée, ce soit juste une autre journée d’entraînement, rien de plus ;

L’impact de l’alimentation sur la performance sportive (01:17:22)

  • Je suis végétarien et j’ai dû trouver des moyens intelligents de prendre du poids sans perdre en performance ;
  • La prise de graisse était essentielle pour me protéger du froid, mais elle ne devait pas impacter ma puissance ni mon endurance ;
  • J’ai testé plein de stratégies nutritionnelles, et ce qui fonctionne, c’est la constance et l’adaptation à ton propre corps ;
  • L’alimentation, c’est pas juste du carburant, c’est un levier de performance et de récupération ;
  • Pendant la traversée, j’avais des ravitaillements toutes les 30 minutes, calibrés au millimètre près pour éviter les chutes d’énergie ;
  • Chaque détail compte, même le timing des repas, la manière dont tu manges avant un effort, ce que tu consommes après pour récupérer ;
  • Je ne mangeais pas juste pour être en forme, je mangeais pour préparer mon corps à affronter le froid et l’épuisement ;
  • Comprendre ton propre métabolisme et adapter ton alimentation, c’est ce qui fait la différence entre une performance moyenne et une performance optimale ;

L’importance du ‘pourquoi’ dans les défis personnels (01:21:58)

  • Si ton pourquoi n’est pas clair, tu abandonneras au premier vrai obstacle ;
  • Il y a une différence entre vouloir faire quelque chose et avoir un vrai moteur qui te pousse à le faire ;
  • Mon pourquoi, c’était d’aller chercher un état de grâce, d’exploration de mes limites, de connexion à moi-même et aux autres ;
  • Il y a des moments où ton corps veut s’arrêter, où tout te dit de lâcher, et c’est là que ton pourquoi doit te porter ;
  • Un défi personnel, ce n’est pas juste une épreuve physique, c’est une transformation intérieure ;
  • Quand je regardais la plage pendant la traversée, je me disais pas « je veux finir », je me disais « je suis en train de vivre quelque chose d’unique » ;
  • Ce n’est pas la victoire qui compte, c’est ce que tu deviens en chemin ;
  • Trouve un pourquoi assez fort et il te portera même dans les moments où tout semble contre toi ;

Accepter l’impermanence et la fluctuation (01:36:44)

  • Rien ne dure, ni la douleur, ni l’euphorie, ni l’échec, ni la réussite ;
  • Quand tu comprends que tout passe, tu arrêtes de t’accrocher et tu commences à vraiment vivre ;
  • La traversée de la Manche, c’était un sommet, mais après, il fallait redescendre et accepter que ce moment était fini ;
  • Si tu restes accroché à un état, tu souffres, parce que la vie ne fonctionne pas comme ça ;
  • Vipassana m’a appris que les pensées, les émotions, les sensations sont comme des vagues : elles viennent, elles repartent, elles ne sont jamais permanentes ;
  • J’ai appris à voir mes émotions sans m’y identifier, à les laisser passer sans les combattre ni les fuir ;
  • La performance ne te définit pas ; ce qui te définit, c’est comment tu réagis aux hauts et aux bas ;
  • La vraie force, c’est de savoir avancer sans s’attacher ni au succès ni à l’échec ;

L’importance de l’environnement (01:50:43)

  • Tu ne te construis pas seul ; ton entourage, ton environnement, ce sont eux qui influencent qui tu deviens ;
  • Pendant la traversée, mon coach était mon pilier ; c’est lui qui me rappelait pourquoi j’étais là quand moi, je commençais à flancher ;
  • Il faut choisir les bonnes personnes autour de toi, celles qui vont te tirer vers le haut, te challenger, te soutenir dans les moments de doute ;
  • Un bon environnement, ce n’est pas juste des gens bienveillants, c’est des gens qui te poussent à devenir la meilleure version de toi-même ;
  • Si tu veux accomplir quelque chose de grand, tu dois être entouré de personnes qui pensent que c’est possible ;
  • Quand tu es en plein doute, le regard d’un mentor, d’un ami, peut tout changer ;
  • On est le reflet des personnes avec qui on passe le plus de temps, alors autant s’entourer des bonnes personnes ;
  • Construire un environnement sain, c’est une des clés les plus sous-estimées de la réussite ;

Ressources

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